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RETRO (22-06-2010)

ALFA-ROMEO
GIULIETTA
SPRINT
(1954 - 1965)

COTE (2010) : 15 000 €
PUISSANCE FISCALE : 7 CV
CARACTERISTIQUES TECHNIQUES ALFA-ROMEO GIULIETTA SPRINT
MOTEUR
Type: 4 cylindres en ligne, 8 soupapes double arbre à cames en tête
Position: Longitudinal AV
Alimentation: 1 carbu double corps inversé Solex APAI-G.
Cylindrée en cm3: 1 290
Alésage x course : 74 x 75
Puissance ch DIN à tr/mn: 80 à 6 300
Puissance au litre en ch: 62,01
Couple maxi en Mkg à tr/mn: 11 à 4 000
TRANSMISSION
AR
Boîte de vitesses (rapports): 4 manuelle.
POIDS
Données constructeur en kg: 880.
Rapport poids/puissance en kg/ch DIN : 11
ROUES
Freins : Disques sur les roues AV et tambours AR. Freinage sans assistance.
Pneus : AV et AR 155 HR 14
PERFORMANCES

Vitesse maxi en km/h: 165
400 m DA en secondes: ND
1 000 m DA en secondes: ND
0 à 100 km/h : ND
0 à 200 km/h : ND
Consommation moyenne : ND

C'est cette petit berline moyenne populaire qui a permis à Alfa Romeo de passer au statut de constructeur généraliste et d'assurer sa survie...


L'Alfa Romeo Giulietta Sprint offre une architecture classique avec propulsion et moteur transversal avant.

giulietta sprint


L'habitacle était certes étriqué mais bien présenté dans le ton des années 50. La finition ne souffrait alors pas encore la critique.


Construite chez Bertone, c'est Felice Boano qui va signer ce design très inspiré et d'une grande pureté.


Boano a entre autre, réussi à renouveler la calandre Alfa Romeo en lui ajoutant deux petites moustaches latérales.


Pour l'époque, ce quatre cylindres double arbre à cames en tête est très moderne de conception. Non seulement il chante le bel canto à la perfection, mais il fait preuve d'un bel entrain malgré sa puissance contenue.


De nombreux dérivés en découleront : le Spider dessiné par Pininfarina...


Le coupé Giulietta SS dessiné chez Bertone.


Le coupé Giulietta SZ dessiné par Zagato...


La poupe n'est pas sans évoquer le dessin de certaines Ferrari !


Conforme à la tradition Alfa Romeo, le coupé Giulietta Sprint a écumé les courses des rallyes avec de nombreux succès...

BIEN :-)
Ligne
Moteur mélodieux et vif
Comportement routier
Position de conduite
Charisme
Prix d'achat
PAS BIEN :-(
Performances d'époque
Corrosion
Entretien méticuleux requis
Certaines pièces spécifiques rares


© L'AUTOMOBILE SPORTIVE (22/06/2010)

CELLE DES AMATEURS AVERTIS...
Si aujourd'hui Alfa Romeo est dans l'esprit de tous un constructeur généraliste à connotation sportive, la firme d'Arese luttait parmi les marques les plus prestigieuses de la planète avant la deuxième guerre mondiale. Ses multiples victoires en Grands-Prix faisaient profiter d'une très bonne image les modèles de production qui rivalisaient de luxe et de sport. La lignée des Alfa Romeo 6C et 8C en étant le meilleur exemple. Mais après la guerre, dans une Europe qui panse ses plaies, Alfa Romeo doit changer de stratégie. Toujours le sport, mais en démocratisant ses produits...

Texte: Nicolas LISZEWSKI - Photos: D.R.

Avant guerre, Alfa Romeo s'illustrait alors sur les circuits des Grands-Prix (la Formule Un n'existait pas encore) de l'Europe entière et tenait tête aux ténors de la catégorie, essentiellement les constructeurs français et allemands. Ses modèles de production étaient alors à l'opposé des modèles actuels, dans un marché automobile qui connaissait une composition différente. Ainsi, les concurrents directs d'Alfa Romeo à l'époque s'appelaient Delage, Delahaye, Mercedes-Benz, Lancia, Bentley, Talbot, Bugatti... Si on veut faire une comparaison avec les segments de marché et les marques actuelles, plus significatifs pour les jeunes générations, Alfa Romeo était avant guerre l'équivalent de marques comme Aston Martin, Jaguar ou Bentley aujourd'hui ! Les cinq longues années du conflit mondial, l'Italie déchirée par le fascisme, puis anéantie à la fin de la guerre ont changé la donne. Alfa Romeo pour survivre, doit se diversifier et changer de stratégie. C'est donc une rapide descente en gamme qui est opérée, avec en premier lieu la berline 1900, première du genre sur le marché puisqu'elle fut la première berline familiale sportive. Mais pour augmenter les volumes de production, et donc sa survie, Alfa Romeo va descendre encore en gamme en lançant en 1952 l'étude d'une voiture moyenne bon marché. Avec toujours dans ses gènes, une forte connotation sportive, le fameux virus Alfa Romeo...

PRESENTATION

Pour mieux comprendre le succès des coupés Alfa Romeo Giulietta Sprint, il faut revenir au début des années 50. A l'époque, certains constructeurs hésitent à abandonner un style classique et céder aux sirènes du style ponton. En outre, les coupés sportifs demeurent plus de lourdes GT peu pratiques et peu maniables dont les tarifs sont prohibitifs et réservés à une élite. La Cisitalia, dessinée par Pininfarina sera la première berlinette du genre et va révolutionner le monde des voitures de sport en matière de design. Dans cette mouvance, le centre de style Alfa Romeo et Felice Boano vont dessiner la ligne du futur coupé Alfa Romeo. Ces autos seront fabriquées par Bertone, car Alfa Romeo n'a prévu d'en fabriquer qu'une série artisanale d'une cinquantaine de véhicules... Il en sera finalement fabriqué pendant une dizaine d'années toutes versions confondues près de 36 000 exemplaires ! Le coupé Giulietta Sprint se singularise par un empattement réduit lui conférant une ligne compacte. En admirant ses lignes avec attention, on devine immédiatement qu'elle a inspiré très largement le coupé Alfa Romeo GT qui vient d'être commercialisé courant 2004. Tous les canons stylistiques de l'époque se retrouvent dans ce dessin italien. On peut même y trouver quelques similitudes avec certaines Ferrari ou Aston Martin contemporaines, mais à échelle réduite. Les moustaches enchâssant la célèbre calandre Alfa Romeo (le " mascarone ") viennent augmenter le caractère de l'auto et les chromes ont été utilisés à bon escient sans excès. Nous sommes face à une voiture de sport ! Avec près de 60 ans de recul, chaque détail stylistique des coupés Giulietta Sprint est une véritable invitation à la nostalgie. Il est difficile de rester de marbre face à un design enchanteur et pourtant si pur. Pourtant, les Giulietta Sprint sont les Alfa Romeo des puristes, des amateurs avertis, car la notoriété des coupés Bertone, plus diffusés, est nettement plus évidente. Techniquement, l'Alfa Romeo Giulietta Sprint reprend le principe de la caisse autoporteuse en acier. Contrairement au véhicule présenté au salon de Turin en 1954, le coupé Giulietta Sprint a gagné deux places de plus (c'est donc un coupé 2+2) et a abandonné son hayon à ouverture transversale pour une malle de coffre à la cinématique d'ouverture plus classique. Les ouvrants sont également en acier. L'intérieur possède des cotes aux standards de l'époque. La planche de bord d'une extrême simplicité conserve une élégance intemporelle. Trois gros cadrans sont sous les yeux du conducteur avec le compte-tours au centre, rappelant les gènes sportifs du coupé milanais. Le volant avec cerclo d'avertisseur est en bakélite et vous remémore les films en noir et blancs de vos grands-parents. En son centre, le biscione et le blason milanais sont bien présents, comme sur toutes les Alfa Romeo. Les coupés Giulietta Sprint se distinguent par une très bonne position de conduite qui permet une conduite efficace et précise à l'image de son châssis et son moteur pétillant...

CUORE SPORTIVO !

Sous le capot, on retrouve toute la force d'Alfa Romeo : son moteur. Fidèle à une longue tradition de motoriste, Alfa Romeo a monté un moteur 1,3 litres qui présente une modernité étonnante pour l'époque. Ce quatre cylindres en ligne possédait une culasse et un bloc en alu. Coiffé par une distribution à double arbre à cames en tête entraînée par une chaîne, ses pistons étaient bombés et ses chambres de combustion hémisphériques. On retrouve aujourd'hui toutes ces caractéristiques sur des modèles actuels, preuve du talent des motoristes de la firme d'Arese. L'alimentation est en revanche plus dans le ton de l'époque et bien loin des normes actuelles. Un carburateur Solex double corps inversé APAI-G se charge de faire couler le précieux liquide dans les chambres de combustion. Ses 65 ch DIN à 6 100 tr/mn peuvent paraître de nos jours bien timides, mais l'auto était alors légère avec 880 kg et les 160 km/h étaient autorisés. Du vrai sport en 1954 alors que la Citroën 2 CV développait moins de 30 ch et n'atteignait même pas les 100 km/h... Une boîte mécanique à 4 rapports au plancher était montée de série. Comble du raffinement pour l'époque, les rapports sont synchronisés.

CHASSIS

La puissance est transmise aux roues arrière. Alfa Romeo, comme la majorité des constructeurs d'alors, faisait encore confiance à la propulsion, gage d'une meilleure efficacité pour les voitures de sport. Pour leur nouveau coupé, les ingénieurs d'Alfa Romeo ont employé des suspensions conventionnelles mais efficaces : roues indépendantes à l'avant avec ressorts hélicoïdaux, barre stabilisatrice et amortisseurs télescopiques, essieu arrière rigide avec ressorts hélicoïdaux et amortisseurs télescopiques. Les freins sont à tambours et sans assistance sur les quatre roues de série. Il faudra attendre plusieurs millésimes pour que des freins à disques soient montés de série sur les roues avant. Si aujourd'hui cela peut étonner, il faut se souvenir que c'est Jaguar en compétition au Mans avec la Type C qui a imposé les freins à disques comme technologie nouvelle de freinage. Pour les roues, des jantes en tôle de 15 pouces chaussées de pneus 155 HR 15 sont montées de série. Il en résulte un comportement routier très sain et efficace. La direction se révèle douce et précise en évolution, tandis que la caisse se cambre dans les courbes. Une fois la première émotion passée, la caisse stabilise son roulis et conserve sa trajectoire. Au pire, dans ses derniers retranchements (sur circuit bien entendu...) la Giulietta Sprint affiche un comportement typé sous-vireur qu'il convient de combattre à l'accélérateur. Justement, les 65 ch des premières versions sont un peu juste dans ce type d'utilisation, même si le double arbre se montre volontaire et mélodieux.

EVOLUTION

Après une année de commercialisation, Alfa Romeo dévoile l'Alfa Romeo Giulietta Spider. Dessinée par Pininfarina, elle reprend la même base technique que le coupé Giulietta Sprint. En 1956, Alfa Romeo offre une version plus musclée de sa Giulietta Sprint : la Veloce ! Le 1,3 litres est équipé de deux carburateurs double corps Weber DC03 autorisant ainsi 80 ch à 6 500 tr/mn et 180 km/h en vitesse maximum. Cette version porte la dénomination interne chez Alfa Romeo " 750 E " alors que la Sprint normale est dénommée " 750 B ". A noter que pour cette première génération de Sprint Veloce, les ouvrants sont en aluminium. Deux ans plus tard, c'est le début des carrosseries spéciales sur le coupé Giulietta Sprint. C'est Bertone qui lance le bal sur un dessin de Scaglione avec la Giulietta SS. Dotée d'une ligne très gracile et élégante, le moteur issu de la série développe pour l'occasion 100 ch, est équipé d'une boîte de vitesses à 5 rapports et atteint la barre des 200 km/h. La gamme " standard " reçoit une nouvelle boîte de vitesses toujours à 4 rapports mais équipée de synchros Porsche. Pour 1959, Alfa Romeo dépoussière son coupé à succès. De nombreux détails de présentation diffèrent : dessin des feux, calandre avant, ajout clignotants latéraux. Cette série " 101 " en remplacement des types " 750 " fait gagner 10 ch de plus sur la Sprint Veloce alors que la Sprint normale passe à 80 ch. Au passage, la version Veloce perd ses ouvrants en alu pour revenir à de l'acier conventionnel. L'année suivante, c'est la deuxième réalisation spéciale sur-mesure de Zagato cette fois-ci. L'Alfa Romeo Giulietta SZ (pour " Sprint Zagato ") se distingue par une caisse entièrement réalisée en aluminium selon un principe qui est cher au carrossier italien, et son design est très novateur et aérodynamique. Comme toutes les réalisations de Zagato, le toit possède un double bossage. En 1962, la fin approche pour la génération Giulietta. En effet, la berline Giulia est commercialisée. Plus spacieuse, plus moderne et performante (ses moteurs sont plus gros et puissants), elle va faire profiter de sa technique aux coupés Giulietta Sprint. Pour l'occasion, les Giulietta Sprint changent de nom en reprenant la dénomination " Giulia " et adoptent ses moteurs et boîtes (1,6 litres de 92 ch et BV5). Le Spider est également concerné. La seule survivante de la génération Giulietta, est le coupé Giulietta SS. Mais cela est de courte durée avec le changement de patronyme et de moteur dès le millésime suivant : Giulia SS avec un 1,6 litres de 112 ch et 195 km/h. Ce sont également les grands débuts des coupés Giulia Sprint GT, plus communément appelés " coupés Bertone ", dessinés avec maestria par G. Giugiaro alors à la Carrozzeria Bertone. En 1964, Alfa Romeo ré-introduit pour le marché italien le coupé Giulietta Sprint 1300 doté pour l'occasion de freins à disques sur les roues avant en série. Mais cette commercialisation ne dure qu'une année, et elle s'éteint de concert avec la berline en 1965. L'Alfa Romeo Giulia a donc la voie libre pour son ascension commerciale. Au total, près de 36 000 exemplaires de coupés Sprint et versions dérivées auront été produits. Un véritable succès qui a dépassé très largement les attentes de départ du constructeur italien...

ACHETER UNE ALFA-ROMEO GIULIETTA SPRINT

Pour acheter un coupé Giulietta Sprint, il faut compter minimum 15-16 000 euros pour un exemplaire sain en bon état avec historique connu. Les versions Veloce sont plus chères et se négocient 1 000 à 2 000 euros plus chères. Les carrosseries spéciales (SZ Zagato et SS) se négocient bien entendu à des valeurs plus élevées. Mais au-delà des cotes et valeurs transactionnelles, le plus délicat sera d'être patient et d'attendre qu'un propriétaire se décide à s'en séparer. Ces autos n'ont en effet pas la renommée des Coupés Bertone, mais profitent d'une aura exceptionnelle auprès des amateurs avertis. Il est totalement illusoire de parler de kilométrage d'origine sur des autos qui sont âgées de plus de 50 ans. Le plus important dans votre choix, outre les recommandations qui vont suivre, est d'opter pour une auto qui est stockée dans un garage fermé et couvert, à l'abri des intempéries, et qui roule régulièrement. Paradoxalement, on ne le dira jamais assez, plus une auto ancienne roule, moins elle s'abîme ! Les caisses des Giulietta Sprint ne souffraient pas de la corrosion comme leurs descendantes plus récentes, mais en raison de leur âge, un contrôle minutieux de la caisse sera impératif aux endroits usuels : ancrages de suspensions, traverses, bas de caisse, tours de phares, charnières de portes et fond de coffre qui contient le bac à batterie. La transmission est fiable et endurante. Seul le synchros de seconde souffre généralement le premier et se manifeste. La boîte et le pont doivent être vidangés tous les 10 000 km avec de l'huile SAE 90. Côté moteur, le double arbre Alfa Romeo est un dur à cuir, si l'entretien ad hoc est réalisé de même que les conditions d'utilisation. Il faut donc impérativement le laisser monter en température avant de vouloir attaquer, mais aussi surveiller attentivement son refroidissement. En effet, la cohabitation du bloc alu et des chemises en fonte peut entraîner de la corrosion. Il doit être correctement lubrifié (tous les 5 000 km), le jeu des soupapes doit être vérifié tous les 30 à 40 000 km et la tension de chaîne de distribution doit être contrôlée scrupuleusement. Les carburateurs doivent être réglés en moyenne tous les 10 000 km en moyenne, plus encore si vous roulez en usage urbain. Comme toute bonne (vraie) ancienne qui se respecte, des points de graissage sur les essieux doivent être respectés selon les préconisation constructeur. Les pièces sont relativement coûteuses à l'achat, et certaines sont difficiles à trouver. C'est notamment vrai pour les types " 750 ". On l'aura compris, à la lecture de ce quotidien technique des Giulietta Sprint et Sprint Veloce, l'auto que vous achèterez devra répondre à toutes ces exigences, factures à l'appui, pour que ce beau rêve de puriste ne tourne pas au cauchemar.

CHRONOLOGIE

1952 : Alfa Romeo démarre l'étude d'une voiture moyenne.
1954 : Au salon de Turin, présentation du coupé Alfa Romeo Giulietta Sprint (type 750 B) : berlinette 2 places avec hayon arrière à ouverture latérale, carrosserie monocoque en acier, moteur 4 cylindres en ligne.
1955 : Présentation de l'Alfa Romeo Giulietta Spider.
1956 : Commercialisation de la version Giulietta Sprint Veloce (type 750 E) : 2 carburateurs Weber DC03, 80 ch à 6 500 tr/mn et 180 km/h.
1958 : Montage d'une nouvelle boîte de vitesses à synchros Porsche. Présentation de la Giulietta SS (carrosserie Bertone sur dessin de Scaglione) : 100 ch, 200 km/h et BV5.
1959 : Petites modifications sur la gamme avec nouvelle série type 101 : calandre redessinée, feux modifiés, clignotants latéraux, décoration nouvelle... La puissance de la Giulietta Sprint passe à 80 ch, et la Veloce à 90 ch.
1960 : Commercialisation du coupé Alfa Romeo Giulietta SZ (Sport Zagato) dessinée par le carrossier Zagato à la carrosserie légère.
1962 : Lancement de la berline Alfa Romeo Giulia. Les Giulietta Sprint et Spider changent de nom et adoptent la mécanique (1,6 litres de 92 ch, BV5) des Giulia.
1963 : Lancement du coupé Alfa Romeo Giulia Sprint GT (le coupé Bertone avec capot " boîte aux lettres "). La Giulietta SS devient Giulia SS (112 ch et 195 km/h).
1964 : Pour le marché italien, réintroduction de l'Alfa Romeo Giulietta Sprint 1300 avec freins à disques AV de série.
1965 : Arrêt des Alfa Romeo Giulietta Sprint. Arrêt de production des Alfa Romeo Giulietta berline TI.

PRODUCTION ALFA ROMEO GIULIETTA SPRINT:
Giulietta Sprint : 24 084 exemplaires
Giulietta Sprint Veloce : 3 058 exemplaires
Giulia Sprint : 7 107 exemplaires
Giulietta SS : 1 366 exemplaires
Giulietta SZ : 210 exemplaires
Giulia SS : 1 400 exemplaires
TOTAL : 35 808 exemplaires
Total Berlines Giulietta : 128 913 exemplaires

:: CONCLUSION
L'Alfa Romeo Giulietta Sprint est désirable à plus d'un titre. En premier lieu, elle représente l'archétype de la berlinette de sport italienne des années 50 avec en prime un design très réussi et un moteur de feu. Ensuite, elle est aujourd'hui du fait de sa rareté et de son histoire un jalon essentiel des coupés milanais que tout amateur éclairé et averti se doit de posséder dans sa collection personnelle. Enfin, ce coupé Giulietta Sprint est actuellement admis dans toutes les manifestations et peu même participer à certaines épreuves de régularité ou de courses anciennes. A posséder impérativement, mais en connaissance de cause...

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