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GUIDE OCCASION (07-04-2005)

MERCEDES-BENZ
500
E (W124)
(1990 - 1995)

568 700 Francs (1992)
35 CV FISCAUX
CARACTERISTIQUES TECHNIQUES MERCEDES-BENZ 500 E (W124)
MOTEUR
Type: 8 cylindres en V, 32 soupapes, 2x2 arbre à cames en tête
Position: longitudinal AV
Alimentation: injection électronique Bosch LH-jetronic.
Cylindrée (cm3) : 4 973
Alésage x course (mm) : 96,5 x 85
Puissance ch DIN à tr/mn: 326 à 5 700
Puissance au litre en ch: 65,55
Couple maxi en Nm à tr/mn: 480 à 3 900
Couple au litre en Nm : 96,52
TRANSMISSION
AR + ASR
Boîte de vitesses (rapports): Automatique 4
POIDS
Données constructeur (kg) : 1 700
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 5,21
ROUES
Freins : 2 disques ventilés (ø 300 mm) AV avec étriers fixes 4 pistons et 2 disques ventilés (ø 278 mm) AR avec étriers fixes 2 pistons + ABS
Pneus : AV et AR 255/55 ZR 16
PERFORMANCES
Vitesse maxi en km/h: 250
400 m DA en secondes: 14,5
1 000 m DA en secondes: 25,9
0 à 100 km/h : 6,5
0 à 200 km/h : 23,2
CONSOMMATION
Moyenne : 13,5 L/100 Km
arriere mercedes benz 500e w124

interieur mercedes benz 500e w124
Un habitacle très traditionnel et à la finition irréprochable. L'équipement de série est riche et complet...

sieges mercedes benz 500e w124

profil mercedes benz 500e w124

arriere mercedes benz 500e w124
Extérieurement, il fallait être un connaisseur pour repérer une Mercedes 500 E.

moteur v8 mercedes benz 500e w124
Sous le capot, le V8 5 litres de 326 ch du roadster SL 500 officie. Quel coffre !

boite mercedes benz 500e w124
Comme sur toutes les grosses Mercedes, la boîte auto est hélas imposée.

brochure mercedes benz 500e w124

catalogue mercedes benz 500e w124

essai mercedes benz 500 e w124
Avec son châssis conçu et développé par Porsche, la Mercedes 500 E est étonnante d'efficacité malgré 1,7 tonnes...

BIEN :-)
Ligne discrète
Performances canons !
Châssis exceptionnel
Finition
Equipement
V8 puissant
Prix d'achat
PAS BIEN :-(
Entretien exigeant et cher
Poids élevé
Boîte auto imposée
Image ?
Look trop discret ?
ASR trop présent
mercedes benz 500 E w124

© L'AUTOMOBILE SPORTIVE (07/04/2005)

TAXI DRIVER !

Nous sommes alors à la fin des années 80 et la concurrence est active. BMW possède alors dans sa gamme une fabuleuse M5, Lancia a sa Thema 8.32 à moteur Ferrari et les japonais se montrent menaçants. Mercedes-Benz ne pouvait alors pas rester inactif et décide de chambouler quelque peu les habitudes de la maison. Quoique pas tant que cela car déjà dans le passé, l'idée de mettre un gros moteur dans une caisse de série a été concrétisé. Pour sa gamme W124, Mercedes va glisser le V8 5 litres du 500 SL de 326 ch et c'est Porsche qui va se charger de la fabrication. Un mythe était né : la Mercedes 500 E...

Texte : Gabriel LESSARD
Photos : D.R.

A la fin des années 80, devant les nouveautés répétées de la concurrence dans le milieu de la berline à très hautes performances (BMW M5, Lancia Thema 8.32 avec moteur V8 Ferrari,…) la Daimler-Benz ne peut rester inactive. En 1990, la décision est prise de mettre sur le marché une berline très haute performance pour remettre les pendules à l'heure. C'est donc la W124 300 E qui va servir de base à la nouvelle bombe de Stuttgart. Et pour motoriser sa berline, c'est vers le V8 5 litres de 326 ch du roadster 500 SL que les ingénieurs vont porter leur choix. Tiens, tiens…, le retour du mythe du gros moteur dans une caisse compacte.

Pour le développement et la conception de sa berline sportive, Mercedes-Benz va collaborer étroitement avec Porsche (2 années d'essais et développement). Si étroitement qu'au moment de la mise en production de l'auto, c'est sur l'ancienne ligne de production des Porsche 959 à Zuffenhausen que sera produite la Mercedes 500 E. L'usine Mercedes de Sindelfingen (dans la banlieue de Stuttgart) étant saturée et ne pouvant supporter une petite production avec de l'assemblage à la main, les caisses avec tous les éléments de carrosserie sont assemblés chez Porsche. Ensuite, soucieux du maintien de son niveau de qualité en matière de protection contre la corrosion les caisses assemblées retournaient à Sindelfingen pour être peintes. Une fois protégée et peinte, la coque repart chez Porsche pour le montage final. A noter que le contrôle final était fait… chez Mercedes à Sindelfingen ! Des allers et venus incessants qui expliquent en partie le prix exorbitant de la Mercedes 500 E à l'époque.

DESIGN

Les mauvaises langues vont faire allusion aux taxis. C'est vrai que la Mercedes 500 E n'est pas très différente du taxi de votre voisin. C'est voulu, car à l'époque chez Mercedes, la tradition n'est pas un vain mot, et le tape-à-l'œil n'était alors pas de mise. Seuls les initiés reconnaîtront entre mille une Mercedes 500 E. Les ailes avant sont élargies de 28 mm, les jantes passent au 16 pouce de diamètre et le spoiler avant est plus large et englobe des projecteurs antibrouillards de type ellipsoïdal. Le bouclier arrière semble également plus enveloppant et il n'y a que la Mercedes 400 E qui était dotée de la même carrosserie. Mercedes poussa alors la discrétion jusqu'au bout avec des jantes de 16 pouces qui possèdent exactement le même dessin que ses sœurs à six cylindres et quatre cylindres. A noter également le rétroviseur extérieur droit (côté passager) plus petit et carré que celui conducteur pour gagner en aérodynamique. Le groupe VAG avait également succombé quelques années plus tard à cette mode.

A BORD DE LA 500 E

L'habitacle de cette Mercedes traditionnelle est dans la lignée du parti : sobre, très bien fini et confortable. Toutefois, contrairement aux habitudes de la maison de Stuttgart, la Mercedes 500 E était très bien équipée de série pour l'époque. Normal me direz-vous à plus de 500 000 francs en son temps ! Climatisation, intérieur cuir, radio K7, quatre vitres électriques, fermeture centralisée, régulateur de vitesses…, tout y est. La Mercedes 500 E est homologuée en berline quatre places avec deux sièges moulés derrière.

MOTEUR

Derrière la traditionnelle calandre Mercedes, les ingénieurs de Stuttgart ont glissé le V8 de 5 litres (nomenclature M119 chez Mercedes-Benz) avec sa culasse à 32 soupapes. C'est en fait le même V8 qui équipe le roadster SL 500 type R129. Mais quelques modifications d'importance ont été apportées. Les conduits d'admission ont été allongés permettant l'augmentation du couple moteur par rapport au roadster SL 500 pour grimper à 480 Nm à 3900 tr/mn. La puissance quant à elle est de 326 ch (inchangée par rapport au roadster SL 500) à 5700 tr/mn. L'alimentation du moteur passe, et c'est nouveau, par un système d'injection Bosch LH-Jetronic tout électronique (contrairement au système KE-Jetronic mi-mécanique, mi-électronique). A l'époque déjà, la Mercedes 500 E était équipée de 2 catalyeurs d'échappement, rappelant ainsi à tous les étourdis que c'est du super sans plomb qu'il faut laisser couler dans le réservoir de 90 litres.

La transmission reste la boîte automatique à 4 rapports Mercedes-Benz. Il existe certes la possibilité de verrouiller les rapports, mais nous sommes hélas loin de l'aspect totalement sportif d'une boîte mécanique, notamment dans l'optique utilisation circuit.

Avec sa vitesse auto-limitée à 250 km/h, la Mercedes 500 E abat le 0 à 100 km/h en 6,5 secondes et le mille mètre DA en moins de 26 secondes. Pas mal pour une auto de 1,7 tonnes ! Mais en dehors de ces chiffres, la poussée est réellement bien présente, et il est toujours amusant d'être collé dans son siège dans une berline si luxueuse…

CHASSIS

Avec un châssis développé par Porsche, le résultat est à la hauteur de la réputation de la marque de Zuffenhausen. Pour optimiser la tenue de route, les voies avant et arrière ont été élargies respectivement de +37 et +38 mm. Le débattement des suspensions est raccourci de 30 mm bien que Mercedes ait opté pour un choix plus typé confort avec des ressorts souples mais des amortisseurs fortement tarés. Véritable philosophie propre à la marque qui veut que la Mercedes 500 E malgré des performances étonnantes reste confortable et efficace selon la culture maison. Pour compléter tant le confort que l'efficacité, un correcteur d'assiette hydraulique est monté sur l'essieu arrière pour maintenir une assiette constante. De nombreux éléments de suspensions proviennent du roadster SL 500 en raison de l'augmentation du poids sur chaque essieu comparé à la berline Mercedes 300 E-24. Les larges jantes de 16 pouces ont permis de loger des gros freins à quatre disques ventilés de diamètre généreux. Puisque Porsche a largement participé à la conception, le freinage est au-dessus de tout soupçon.

Tout semble donc idyllique dans ce tableau technique, mais les 1,7 tonnes de la bête, la boîte automatique et l'ASR omniprésent ont vite fait de vous rappeler que vous n'êtes pas à bord d'une voiture de sport, mais d'une berline ultra-rapide plus à l'aise sur les Autobahn allemands à 250 km/h que sur les petites routes des Cévennes. Quoiqu'il en soit, le compromis offert par la Mercedes 500 E en matière de comportement routier est réellement phénoménal, aujourd'hui encore, et si vous êtes amateurs du genre, vous aurez du mal à la quitter. Les vrais amateurs de circuit et de conduite fine préfèreront certainement la BMW M5 contemporaine plus sportive de définition. L'idéal ? Une Mercedes 500 E qui tracte jusqu'au circuit une BMW M5… C'est beau de rêver !

EVOLUTIONS

Mercedes-Benz commercialise sa berline Mercedes 300 E sur la berline W124 en 1986. C'est le premier jalon de la berline performante dans la série W124. En octobre 1990, au salon de Paris, Mercedes-Benz dévoile la nouvelle Mercedes 500 E. Basée sur la berline classique W124, et développée conjointement avec Porsche, le V8 5 litres du SL500 de 326 ch a été glissé au chausse-pieds. Trois ans plus tard, toute la gamme W124 est face-liftée et l'appellation change de 500 E à E500 pour s'intégrer dans la nouvelle politique de noms de gamme de la marque (Classe E, C, S…). Quelques modifications esthétiques interviennent : nouveau capot, nouveaux optiques avant, arrière… Une édition limitée pour le marché suisse uniquement est commercialisée en 1994 et baptisée E500 Limited : uniquement disponible en noir (Saphirschwarz) ou gris métal (Briljantsilber). Des jantes alu de 17 pouces au look DTM sont montées et chaussées en 245/45. Seulement 500 Mercedes E500 Limited ont été produites. Après 5 années de production, la Mercedes 500 E s'éteint avec 10 479 exemplaires produits.

MERCEDES-BENZ 500 E LIMITED
Une édition limitée pour le marché suisse uniquement est commercialisée en 1994 et baptisée E500 Limited : uniquement disponible en noir (Saphirschwarz) ou gris métal (Briljantsilber). Des jantes alu de 17 pouces au look DTM sont montées et chaussées en 245/45. Seulement 500 Mercedes E500 Limited ont été produites.

ACHETER UNE MERCEDES-BENZ 500 E (W124)

Bonne nouvelle pour tous les amateurs de berlines sportives prestigieuses, la Mercedes 500 E a une cote qui a pris un sérieux coup dans l'aile. Les raisons ? Disons que son look discret et similaire de loin à un " taxi " de la marque à l'étoile ne l'ont pas aidé, l'intérêt que lui porte certaines catégories socio-professionnelles font fuir les acheteurs, la méconnaissance de cette auto du grand public… Bref, autant d'éléments qui relègue la Mercedes 500 E dans les abîmes des petites annonces. Les premières Mercedes 500 E se trouvent à partir de 8000 euros, mais comptez plutôt entre 13 à 15000 euros pour un très beau modèle à l'historique connu. Malheureusement, bon nombre de Mercedes 500 E sont tombées dans des mains pas toujours fortunées et leur entretien a été négligé. Et malgré son blason et son image de fiabilité indestructible, l'entretien exigeant de cette bombe quatre portes de Stuttgart est impératif pour limiter des coûts de remise en état dramatiques. Pour être totalement honnête, toute voiture non entretenue correctement doit être évitée. Si vous ne respectez pas ce principe, la ruine vous guette au coin du virage. Quelques faiblesses sont à noter pour les Mercedes 500 E. Tout d'abord une consommation d'essence conséquente qui flirte souvent avec les 20 litres aux cents ! Difficile en effet de ne pas faire piaffer les 326 ch de son V8… Sous le capot moteur, la chaleur dégagée par le moteur est impressionnante et donne du souci au faisceau moteur. Certains se désagrègent voire même quelques cas d'incendie ont été notés. Enfin, les correcteurs d'assiette hydrauliques sont à vérifier sous peine d'une facture conséquente et d'une tenue de route dégradée. Vous l'aurez compris, les gros kilométrages sont à préférer si l'auto concernée est entretenue régulièrement chez Mercedes-Benz à une auto avec à priori moins de kilomètres mais pas d'entretien. Enfin, pensez à vérifier le kilométrage de l'auto et sa provenance. La Mercedes 500 E n'est pas un achat déraisonné, à condition de ne pas céder à la tentation de la précipitation pour opter pour le bon exemplaire, sain et propre.

CHRONOLOGIE MERCEDES 500 E

1986 : Commercialisation de la berline Mercedes 300 E sur la berline W124.
1990 : En octobre, au salon de Paris, Mercedes-Benz dévoile la nouvelle Mercedes 500 E. Basée sur la berline classique W124, et développée conjointement avec Porsche, le V8 5 litres du SL500 de 326 ch a été glissé au chausse-pieds.
1993 : Toute la gamme W124 est faceliftée et son appellation change de 500 E à E500 pour s'intégrer dans la nouvelle politique de noms de gamme de la marque (Classe E, C, S…). Quelques modifications esthétiques interviennent : nouveau capot, nouveaux optiques avant, arrière…
1994 : Une édition limitée pour le marché suisse uniquement est commercialisée et baptisée E500 Limited : uniquement disponible en noir (Saphirschwarz) ou gris métal (Briljantsilber). Des jantes alu de 17 pouces au look DTM sont montées et chaussées en 245/45. Seulement 500 Mercedes E500 Limited ont été produites.
1995 : Après 5 années de production, la Mercedes 500 E s'éteint après 10 479 exemplaires produits.

PRODUCTION
Mercedes 500 E : 9 979 exemplaires
Mercedes E500 Limited : 500 exemplaires
Total : 10 479 exemplaires

:: CONCLUSION
Véritable bombe sur roues, la Mercedes 500 E cache bien son jeu. Mythe en devenir, elle ne séduit pas le public par son look discret et passe-partout. Son terrain de jeu préféré est les longs rubans bleus des autoroutes (allemandes !) bien que sa polyvalence lui permette de faire bonne figure en toutes circonstances. Dommage que la boîte automatique soit imposée et que l'ASR ne soit pas déconnectable. En avance sur son temps, la Mercedes 500 E s'offre à vous aujourd'hui pour un prix raisonnable. Mais attention au gouffre financier, si l'exemplaire retenu n'est pas sain...

CE QU'ILS EN ONT PENSE :
"On pourra trouver étrange la comparaison entre ces deux modèles (la BMW M5 340 ch et la Mercedes 500 E NDLR), de performances équivalentes mais de philosophies diamétralement opposées. Pourtant ne s'agit-il pas de berlines quatre portes, relativement anonymes, capables d'affronter une heure d'encombrement sans broncher puis, d'aller " chercher " la plus sportive des sportives sur n'importe quelle route ? A ce jeu, la Mercedes possède un atout qui fait défaut à la M5 : elle est beaucoup plus polyvalente parce que moins typée " sport ". Avec elle, un virage abordé en catastrophe n'a jamais de conséquences radicales. L'antipatinage ASR régule, l'électronique fait le reste et ce qui aurait dû être un monumental travers se termine par un léger mouvement translatoire. C'est sécurisant parce que l'on sait qu'à moins d'une énorme, une considérable faute de pilotage, il ne se passera pas grand-chose. C'est frustrant aussi, de ne plus contre-braquer, d'oublier ce que dériver veut dire. On est totalement pris en charge, on contrôle sans contrôler et un mot comme en cent, on ne s'amuse pas. Voilà pourquoi vous ne verrez jamais la photo d'une 500 E " à l'équerre "…."
AUTOMOBILES SPORTIVES ET DE PRESTIGE - septembre 1992 - Mercedes-Benz 500E W124.

"La puissance et la souplesse de son V8 de 5 litres sont tout bonnement phénoménales. Sous une apparence un peu pataude, on découvre en réalité des performances de haut niveau, une bonne maniabilité et un comportement quasi sans faille. Difficile de lui trouver de réels défauts. Il faut vraiment aller chercher midi à quatorze heures pour remplir la case " Défauts ". Difficile également de lui trouver des concurrentes. En cause, un prix élevé, que l'on peut même qualifier d'exorbitant, même au vu de l'équipement proposé. Finalement, c'est au client de décider, et il s'en trouve d'ores et déjà un certain nombre à avoir fait leur choix, témoins les listes d'attente affichées par les importateurs. Reste également à savoir si un tel véhicule trouve encore une quelconque raison d'être dans le contexte automobile actuel. Mais on peut poser la même question pour bien d'autres produits."
LE MONITEUR AUTOMOBILE - 1991 - Mercedes-Benz 500E W124.

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Avis des propriétaires

le meilleur de 2 mondes : mercedes pour la classe et le confort, porsche pour le chassis et la sportivité. cela donne une voiture incroyable de facilité, capable de tout faire. attaquer sur petite route (ou circuit) avec son chassis bien réglé. avaler du kilomètre sur autoroute dans un silence royale. poser devant les regards des passionnés en mettant en avant ses ailes galbées comme monica b. en plus c'est un modèle de fiabilité, il n'est pas rare de voire de fort kilomètrage sans soucis majeurs (c'est le véhicule de prêt de mr alois ruf depuis de nombreuses années avec plus de 360 000 kms). les points à surveiller : - le faisceau éléctrique qui passe au milieu du moteur (il fait chaud la dessous) - la vidange régulière de la boite tous les 60 000 kms

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