OPEL KADETT (C) GT/E (1975 - 1979)
l'école des rallyes
Troisième génération d'après-guerre, l'Opel Kadett C faisait ses débuts il y a un peu plus de 50 ans. Et avec l'arrivée de la version GT/E, elle allait prouver qu'une sportive populaire pouvait faire rimer simplicité avec efficacité...
Texte : Sébastien DUPUIS
Photos : D.R.
A l'origine, on ne peut pas dire que le sport faisait partie de l'ADN de l'Opel Kadett. Conçue comme une voiture populaire, économique et fiable, elle débute sa carrière en 1937 sans faire de vague mais arrive rapidement la guerre qui met fin prématurément à sa produciton. Il faudra ensuite 22 ans à l'américain General Motors, propriétaire de la marque de Rüsselsheim depuis 1929, pour relancer la Kadett après l'arrêt du modèle original en mai 1940. La nouvelle Kadett, rebaptisée plus tard Kadett A comme pour faire oublier la Kadett 1 d'avant-guerre, utilise les mêmes recettes de simplicité et de fiabilité qui vont définir pour longtemps la philisophie du modèle. Elle est remplacée par la Kadett « B » en juillet 1965, une deuxième génération qui va même commencer à s'initier au sport. Avec l'évocatrice version "Rallye" proposée sur la Kadett B, la compacte débute toutefois timidement en se dotant d'un petit moteur 1.1l avant d'enfiler un 1900 cm3 plus ambitieux...
En 1970, porté par la vague de la mondialisation, GM lance le développement du World Car "Project 1865". La remplaçante de la Kadett B doit devenir une voiture mondiale adaptée à différents marchés. Un modèle qui réunit les qualités de simplicité, de fiabilité et de coût pour répondre aux attentes d'un maximum d'automobilistes. Et effectivement, jusqu'aux années 1980, Opel écoulera plus de 7 millions de Kadett C sur tous les continents à travers 14 marques et 40 désignations de modèles différentes ! Et pour assurer la promotion, ce sera le sport...
Le sport pour publicité
Pour accompagner des ambitions commerciales sans précédent, Opel, comme beaucoup de constructeurs à cette époque, décide de miser sur le sport automobile. Grâce à une couverture médiatique planétaire via la télévision, le sport auto est en effet un formidabe vecteur d'image et de publicité pour les marques qui investissent avec des équipes officielles à gros budget. Opel engage alors des pilotes de talent dont un jeune espoir allemand du nom de Walter Rörhl. Reste à leur fournir une voiture et ce sera le rôle de la Kadett GT/E, véritable modèle d'homologation pour les rallyes...
PRESENTATION
Voiture polyvalente, fiable et économique, l'Opel Kadett type C est fabriquée sous différentes formes de carrosserie, berline, break, coupé et même un original cabriolet dénommé "Aero". Elle jouit déjà d'une grande popularité en Europe et ailleurs mais l'arrivée d'un vrai modèle sportif (contrairement à la trop sage version "Rallye" qui la précède) va transcender cette réputation. Baptisé "Coupé GT/E", avec un E pour injection (plus exactement Einspritzung en Allemand !), il est basé sur la carrosserie deux portes et dévoilé en août 1975, un an avant une certaine Volkswagen Golf GTI. Mais il faudra tout de même attendre l'année 1976 pour pouvoir s'offrir la voiture de série car les premiers exemplaires ont été réservés à la compétition afin d'assurer la publicité du modèle. Comme Ford avait coutume de dire alors "win on Sunday, sell on Monday", autrement dit les victoires assurent les ventes...
Le design de la GT/E polarise et séduit les amateurs de sports mécaniques. L'usine n'a pourtant ajouté qu'un modeste spoiler avant, un becquet arrière et de petites jantes en alliage pour transformer son coupé populaire en "bête de course". Les pare chocs, les poignées de portes, les prises d’air et les entourages de vitres reçoivent aussi un traitement noir mat à la place du chrome. Mais la GT/E se distingue surtout au premier coup d'oeil par ses peintures de guerre, une déco de carrosserie distinctive qui a pour but de marquer les esprits. La ceinture de caisse de la GT/E sépare ainsi le haut peint en jaune du bas peint en noir, ce qui en fait un bolide au caractère bien trempé qui ne passe pas inaperçu. Il convient à ce propos de distinguer les deux séries de GT/E. La première, en jaune et noir produite entre 1975 et 1977 et la seconde (GT/E "2"), en jaune et blanc, produite entre 1977 et 1979.
HABITACLE
A l’intérieur de la Kadett C GT/E, le tableau de bord tout de noir vêtu suit la même logique de simplicité relevée par quelques détails judicieusement choisis. La GT/E adopte ainsi un compte tours et un ensemble de manomètres rapporté sous la planche de bord avec la température d'eau, la pression d’huile et le niveau de carburant. Les pédales rapprochées sont étudiées pour faciliter le fameux “talon pointe” cher aux pilotes.
L'intérieur est par ailleurs resté intégralement noir, avec son volant trois branches et de minces sièges sport en guise d'équipement sportif. Pas de radio (mais elle pouvait se rajouter), presque pas d'isolation thermique ou accoustique et encore moins de clim ou de vitres électriques, la GT/E est une voiture de sport pure et dure ! On apprécie cependant une qualité de fabrication très convenable pour la catégorie.
MOTEUR
La Kadett C est conçue sur une architecture simple mais efficace, encore très courante à l'époque, composée d'un moteur longitudinal à l'avant et de roues arrières motrices. Cette configuration commence toutefois à disparaître dans les années suivantes avec l'avènement des tractions avant et Opel est encore loin d'imaginer le train des GTI qui va arriver...
Alors que les moteurs de la gamme Kadett C sont tous des petits quatre cylindres en ligne, de 1.0 à 1.6 litres, sous le capot, la Kadett GT/E va employer une recette à la base même du phénomène des GTI : mettre un gros moteur dans une petite caisse ! Ainsi, elle reçoit un quatre cylindres en ligne de 1.9 litres (20EH) à injection électronique, développant 105 chevaux. C'est la clé d'un sacré bond en performances ! Cette motorisation permettait en effet à la GT/E d'atteindre une vitesse maximale d'environ 185 km/h et d'accélérer de 0 à 100 km/h en moins de 10 secondes, des performances de premier plan pour une voiture de cette catégorie à l'époque.
Le Kadett GT/E proposait également une option redoutable (mais chère !) pour booster ses performances : une transmission manuelle à cinq vitesses ZF. Parfaitement étagée, son succès sera tel qu'elle deviendra ultérieurement un équipement standard.
SUR LA ROUTE
La suspension et le châssis de la Kadett GT/E ont également été optimisés avec soin par les ingénieurs Opel pour offrir une meilleure tenue de route et un comportement plus sportif que le coupé standard. La GT/E reçoit notamment des barres stabilisatrices nettement plus épaisses et des amortisseurs à gaz Bilstein, réputés pour leur compromis excellent entre tenue de route et confort. Le montage de freins à disques plus grands à l'avant et de tambours renforcés à l'arrière garantissait une puissance de freinage adaptée aux performances accrues de la voiture. Des jantes en alliage de 5,5 pouces chaussées plus large complètent la préparation modeste mais efficace visant à faire de l'Opel Kadett GT/E une voiture quasiment "prête à courir" pour de nombreux pilotes amateurs de l'époque.
Et ce sera le cas, puisque quelques grands noms du rallye vont faire leurs classes dans les épreuves régionales, nationales et mêmes internationales grâce à cette école de la glisse qui se pilote à l'ancienne, souvent en travers et par les portières ! A l'image de notre R8 Gordini nationale, la Kadett GT/E devient rapidement une icône sportive pour toute une génération et ses exploits, en dépit d'une mécanique modeste, vont en faire un modèle très populaire en Allemagne. Louée pour sa simplicité, sa légèreté, son comportement et sa fiabilité sans faille, la Kadett C se taille une réputation en or dans un milieu sportif où personne ne veut encore entendre parler de traction avant...
EVOLUTION
En septembre 1977, pour le millésime 78, l'Opel Kadett GT/E s'offre une légère remise à niveau et un petit relooking visant à soutenir les ventes. A nouveau, Francfort est le salon où la nouvelle GT/E se dévoile au public. Comme précédemment, Opel ne prévoit initialement qu'une série de 1 000 exemplaires de sa sportive à des fins d'homologation mais le succès est tel que d'autres exemplaires suivront rapidement. La Kadett GT/E "série 2" se distingue facilement de la première à sa face avant restylée avec des ailes modifiées et des phares plus grands qui englobent maintenant les clignotants précédemment placés dans le pare-choc. Le logo Opel, chromé et agrandi, intègre le centre de la calandre. En outre, un schéma de peinture bicolore jaune / blanc est appliqué à la série 2 comme déjà évoqué.
Opel fournit désormais en série la boîte courte ZF à cinq rapports et un différentiel autobloquant à 40 %. Mais le changement le plus important est sous le capot avec l'introduction du moteur 1979 cm3 "2.0E CIH" ou "2.0 EH". Au lieu des poussoirs hydrauliques faciles d'entretien du moteur standard de deux litres, des poussoirs mécaniques sont utilisés qui, associés à des ressorts de soupape plus durs, permettent des régimes plus élevés. Avec son injection Bosch L-Jetronic, la puissance du 2.0 EH grimpe à 115 chevaux à 5600 tours/mn et permet à la GT/E de 1978 d'atteindre 190 kilomètres à l'heure. Ainsi, la Kadett GT/E est presque 10 km/h plus rapide que ses concurrentes de Wolfsburg ou de Cologne - la VW Golf GTI et la Ford Escort RS. Par ailleurs, il est important de souligner que l'entreprise de Rüsselsheim a pris en compte comme jamais auparavant les intérêts des pilotes de rallye. Walter Bresse, du développement sportif spécial d'Opel, indiquait ainsi qu'Opel avait "tout renforcé dans la Kadett GT/E, depuis les triangles jusqu'au tube de barre d'attelage de l'essieu arrière qui, selon notre expérience précédente en rallye, s'est cassé". Enfin, les 1000 premiers modèles produits reçurent des roues spéciales de 13" en alliage forgé de magnesium chaussées en 175 / 70 HR 13.
OPEL KADETT RALLYE 2.0E
En septembre 1977, la Kadett Rallye fait son grand retour au catalogue de la Kadett C. Cette finition née sur la Kadett B est taillée pour le sport à prix d'ami. Sur la Kadett C, elle est proposée simultanément avec deux motorisations : un petit 1.6S à carburateur développant modestement 75 ch et le 2.0E injection de la GT/E, légèrement dégonflé avec un arbre à cames et un débitmètre différents qui ramènent la puissance à 110 ch à 5400 tr/mn. La Kadett Rallye 2.0E dispose aussi de la boîte 5 vitesses. Esthétiquement, la finition "Rallye" comprend un bandeau noir avec lettrage "Opel Rallye" sur les flancs, le spoiler avant et le becquet de la GT/E ainsi que des poignées de porte et des pare-chocs noirs. Les roues en alliage Fuchs étaient disponibles en option. A l'intérieur, le pilote bénéficie d'un tachymètre, d'un volant sport à trois branches et de l'instrumentation complémentaire pour la température du liquide de refroidissement, la pression d'huile et la jauge à carburant. Outre le moteur, la Kadett C Rallye se distingue de la GT/E par un amortissement plus simple puisqu'elle ne dispose pas de l'abaissement de 20 mm. En performances pures, la Rallye 2.0E reste extrêmement proche de la GT/E et c'est ce qui fait tout son intérêt car sa production n'est pas limitée. Testées en 1978 par le célèbre magazine allemand Auto Motor und Sport lors d'un comparatif, les Kadett Rallye 2.0E et GT/E n'affichaient qu'une faible différence de performances en accélération (0 à 100 km/h en 10"1 pour la Rallye 2.0E) et une vitesse de pointe de 190 km/h légèrement plus favorable à la Rallye 2.0E grâce à un étagement un peu plus long. La Rallye se montrait par ailleurs un peu plus sobre en carburant et surtout nettement moins chère à l'achat puisque son prix était fixé à 13.596 Marks contre 16.850 pour la GT/E "2" !
L'OPEL KADETT GT/E EN COMPETITION
L'Opel Kadett GT/E (type "c") avec le moteur 1 900 cm3 d'abord et ensuite le 2 000 cm3, fut l'une des voitures de rallyes les plus populaires du milieu des années 1970 à celui des années 1980. L'équipe Opel Euro Handler notamment a obtenu de bons résultats avec la Kadett GT / E dans les championnats mondiaux de rallye (groupe 1) avec une troisième place en 1977 comme point fort. Les pilotes les plus célèbres ayant oeuvré à son volant sont Walter Rôhrl, Anders Kullang, Bror Danielsson et Manuel Queirs Pereira. Les trois derniers ont atteint le podium en quelques courses avec la GT/E. En 1976, Walter Röhrl et Jochen Berger, le premier copilote professionnel d’Allemagne, remportent une quatrième place sensationnelle au Rallye de Monte-Carlo et Opel s’arroge même la deuxième place au classement général des marques. Rapidement adoptée par les pilotes de rallyes, elle se voit déclinée en version Groupe 4, une bête de rallye disposant de 16 soupapes et de 230 chevaux. La Kadett C GT/E est devenue une voiture de course réputée et recherchée, au point de devenir culte en Allemagne.
ACHETER UNE OPEL KADETT C GT/E
Marginale sur les 1,7 million d'exemplaires d'Opel Kadett C produits, la GT/E a pourtant marqué fortement les esprits de toute une génération d'amateurs de voitures compactes sportives. Appréciée pour son équilibre entre performances, coût et praticité, la Kadett GT/E a été produite dans sa première série à plus de 8800 exemplaires malgré un prix supérieur d'environ 30 % à une Kadett coupé 1.2 S. La deuxième série de GT/E a quant à elle atteint plus modestement 2234 exemplaires du fait d'une commercialisation moins longue mais il faut rappeler que pour chaque série, Opel n'envisageait produire que les 1000 exemplaires requis pour l'homologation ! Aujourd'hui, ce sont très logiquement les 1000 premiers exemplaires de Kadett GT/E 2 qui sont les plus recherchés, d'une part pour leur rareté, d'autre part car elles constituent la version la plus aboutie et la plus performante du modèle.
Quoi qu'il en soit, il est de toute façon difficile de trouver une belle GT/E originale. Tout d'abord, car la conservation des Kadett C pose des défis en raison de sa sensibilité à la rouille mais aussi en raison du coût élevé des pièces spécifiques à la GT/E, comme les roues Fuchs et les boîtes de vitesses ZF. De ce fait, une remise en état complète devient très coûteuse. Revers de sa popularité, la Kadett GT/E est souvent tombée entre les mains de sportifs amateurs qui ne l'ont pas épargnée, réduisant d'autant plus vite le nombre d'exemplaires survivants à ce jour... malgré l'apparition de nombreuses répliques. Pour toutes ces raisons, les Opel Kadett GT/E authentiques proposées à la vente ne sont plus bon marché avec une cote qui varie souvent entre 30 et 40 000 euros. Pour profiter de la dernière compacte propulsion Opel dans les rallyes historiques et VHC il faudra casser sa tirelire...
Chronologie Opel Kadett C GT/E
1973 :
A la fin de l'été, lancement de l'Opel Kadett C (troisième génération) avec des carrosseries berline, break et coupé avec le 4 cylindres 1.2l de 52 ou 60 ch.
1974 : A partir de mars 1974, en réponse à la crise mondiale du pétrole, Opel ajoute une motorisation 1,0 litre de 40 ch à la gamme Kadett C.
1975 : Opel démontre que la Kadett C peut également être sportive. La Kadett GT/E est dévoilée au salon IAA de Francfort avec un moteur de 1,9 litre équipé du système d’injection électronique L‑Jetronic signé Bosch. Elle développe 105 ch et affiche une vitesse de pointe de 184 km/h pour un poids à vide d'à peine 900 kg.
1976 : Commercialisation du coupé GT/E qui vient compléter la gamme Kadett C. Walter Röhrl et Rauno Aaltonen rencontrent le succès à bord d’une GT/E de 225 ch au Rallye de Monte-Carlo et au Rallye du Portugal. Opel offre un plaisir au volant tout à fait inédit avec la Kadett Aero, version découvrable type targa à capote en toile réalisée par le spécialiste allemand Baur.
1977 : Restylage de la Kadett C, le coupé GT/E gagne en cylindrée avec le nouveau moteur 2.0 EH 115 ch (moteur CIH avec injection Bosch K-Jetronic et un taux de compression plus élevé). La suspension de la roue arrière a été modifiée par l'intégration d'amortisseurs Bilstein télescopiques montés verticalement, ce qui a amélioré la tenue de route. La face avant est remodelée pour l'occasion avec des clignotants déplacés du pare-choc vers les phares. Nouvelle peinture bi-colore blanc/jaune pour les 1000 premiers exemplaires. En septembre, la finition "Rallye" fait son grand retour avec une motorisation 2.0 E injection de 110 ch ou 1.6S à carburateur de 75 ch.
1979 : En juillet, fin de production pour la Kadett C. Il faudra attendre 1983 pour revoir le label GTE sur la Kadett D, en traction avant cette fois...
PRODUCTION OPEL KADETT C GT/E
Kadett GT/E 1.9l 105 ch (1976-1977) : 8660 exemplaires
Kadett GT/E 2.0l 115 ch (1977-1979) : 2254 exemplaires
CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
OPEL KADETT (C) GT/E
MOTEURType : 4 cylindres en ligne, 8 soupapes
Position : longitudinal AV
Alimentation : Injection électronique Bosch K-Jetronic/ L-Jetronic
Cylindrée (cm3) : 1897 / 1979
Alésage x course (mm) : 93 x 69.8 / 95 x 69.8
Puissance maxi (ch DIN à tr/mn) : 105 à 5400 / 115 à 5600
Couple maxi (Nm à tr/mn) : 149 de 3400 à 4600 / 159 à 3000
TRANSMISSION
AR + autobloquant
Boîte de vitesses (rapports) : manuelle (4/5)
ROUES
Freins Av-Ar (Ø mm) : disques pleins (243) - tambours (230)
Pneus Av-Ar : 175/70 HR13
POIDS
A vide constructeur (kg) : 915 / 920
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 8.7 / 8
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h) : 184 / 190
1000 m DA : 32" / 30"
0 - 100 km/h : 10"2 / 8"5
CONSOMMATION
Moyenne mixte (L/100 km) : 9
CO2 (g/km) : NC
PRIX NEUF (1976) : 31 000 FF
COTE (2024) : 35 000 €
PUISSANCE FISCALE : 11 CV
CONCLUSION
L'Opel Kadett Type C dans sa version sportive GT/E a laissé une empreinte indélébile dans l'histoire de l'automobile. Sa combinaison de simplicité, de robustesse et de performances a séduit de nombreux conducteurs à travers le monde. Aujourd'hui, la Kadett GT/E est célébrée comme une icône sportive des années 1970, un témoignage de l'ingéniosité et de la passion qui animaient les constructeurs à l'époque.
Ambiance 70's !
2.0l coupleux
Comportement sportif
Fiabilité mécanique
Boîte 5
Rare et chère !
Moteur sans charme
Sensible à la corrosion