MAZDA MX-5 (NB) FL 1.8i (2001 - 2005)
De la suite dans l'idée
La Mazda MX-5 première du nom a remis au goût du jour les petits roadsters sportifs abordables à la fin des années 80. Après un profond remaniement effectué en 1998 avec la génération NB, la Miata devenait plus bourgeoise tout en conservant ses qualités premières de plaisir de conduite. Evoluer sans se renier, tel était le mot d'ordre du restylage de la MX-5 "Face Lift" en 2001...
Texte : Philippe LAGRANGE
Photos : D.R.
Grâce à sa bouille à la fois moderne et pourtant proche des canons stylistiques des années 60, la première MX-5 "Miata" (dite type "NA" désormais) lancée en 1989 fût un succès immédiat, Mazda n'arrivant pas à suivre la demande durant les premiers mois au point que l'ont vit des modèles d'occasion s'échanger à un tarif supérieur au tarif catalogue. Introduit en 1998 et ayant abandonné les phares escamotables, le modèle MkII (ou NB) allait fêter les 10 ans de la Miata . Tout en concédant un léger embourgeoisement par rapport au modèle original, la MX-5 NB restait parfaitement fidèle à l'esprit de départ et cette personnalité perdura sur toutes les MX-5 au fil des générations !
Trois ans après son lancement, la MX-5 NB subissait donc un discret restylage (série dite NB "FL" pour "Face Lift") qui améliorait encore le confort tout en restant elle aussi fidèle au concept original. La disparition du modèle en 2005, remplacé par la MX-5 (NC), conduit désormais la MX-5 NB dans la catégorie des youngtimers avant d'netrer dans le monde de la collection et c'est aujourd'hui l'occasion de porter un regard différent sur cette seconde évolution d'un modèle désormais mythique. La MX-5 type FL avait la délicate mission de répondre à l'arrivée de nombreuses nouvelles prétendantes sur le marché des petits roadsters, des BMW Z3, MG TF, Toyota MR et autres Fiat Barchetta, sans compter la déferlante des "CC", de la prestigieuse Mercedes SLK et surtout de la très populaire Peugeot 206 CC...
DESIGN
Tandis que la Miata originelle s'inspirait ouvertement du dessin de la Lotus Elan première du nom, la FL quant à elle se veut plus moderne. En changeant de génération, elle a pris du volume et la principale modification par rapport à la première mouture se situe dans la perte de ses phares escamotables. Au petit jeu des différences entre la MX-5 NB FL et la NB "phase 1", disons en résumé que la ligne se voulait un peu plus agressive. La poupe a donc gagné un petit béquet moulé dans le couvercle de coffre et les bas de caisse sont plus travaillés afin de rendre le profil plus fluide.
Mais c'est la proue qui change le plus entre la NB première série et la seconde. En effet, sur la "NBFL" les phares sont affinés par une rainure qui en prolonge la courbure sur le bouclier avant, contribuant à dynamiser le "regard" de l'auto. En parallèle la bouche d'aération centrale dans le nouveau bouclier abandonne ses rondeurs pour un dessin trapézoïdal qui contribue à rendre le dessin plus tendu. Enfin, le bouclier se perce d'ouvertures rondes de part et d'autre de cette grile centrale pouvant accueillir (en option) des phares anti-brouillards. Au final, si l'aspect extérieur ne se différencie pas énormément du modèle MK2 précédent il en résulte une ligne toute de même plus "virile" et la vague impression que la MX-5 se fait plus méchante... Ce nouveau look confère à la MX-5 NB un peu air de Jaguar XK8 miniature pas déplaisant et qui correspond finalement assez bien à son tempérament.
HABITACLE
A l'intérieur le changement principal concerne la forme des sièges avec appuie-tête intégré, pour le reste pas de grands changements par rapport à la MK2 précédente. La position de conduite est toujours bonne, bien que le volant soit positionné un peu trop bas pour les grands gabarits. Les sièges, confortables, assurent un maintien correct sur route et dans la majorité des cas d'utilisation. Le tableau de bord enfin dont les compteurs à fonds blancs sont bien lisibles souffre de l'absence d'un manomètre de pression et d'un thermomètre pour l'huile. De même sur les premiers millésimes un voyant de réserve d'essence aurait été bienvenu pour éviter de se retrouver à sec sans avertissement, cas de figure qui est toujours plus humiliant au volant d'une voiture sportive que de n'importe quel autre type de véhicule : les passants prenant un malin plaisir à se gausser du malheur du "Playboy" en détresse.
Assis au raz du sol (tout étant relatif, on est loin d'une Caterham super 7 tout de même) on a immédiatement la sensation d'être dans une voiture dédiée au plaisir. Le long capot agrémenté d'un bossage central contribue à mettre dans l'ambiance sportive le conducteur. Le "joystick" de changement de vitesse tombe bien sous la main alors que le tunnel de transmission, s'il interdit tout rapprochement avec une éventuelle passagère, permet de reposer son bras droit sur les longs trajets. A propos de la passagère, il va de soi que la MX-5 ne saura en aucun cas subvenir aux besoins d'espace de madame si cette dernière décide de tenir une moyenne de 3 tenues par jours sur une semaine de vacances. Cependant le coffre se fait suffisamment accueillant pour un voyage à deux à conditions de se montrer raisonnable sur les bagages Et d'avoir atteint le grade de "maître du Tetris".
Au niveau des équipements, les multiples séries spéciales propres à chaque pays et chaque millésime prenaient souvent le pas sur la version "Elegance" de base déjà bien équipée avec l'ABS, les vitres électriques, la direction assistée, deux airbags Au gré de ces versions finalement pas si spéciales l'équipement était régulièrement agrémenté d'options chères sur la version Elegance : intérieur cuir, systèmes audio de qualité, sièges chauffant, roues de 16 pouces (au lieu de 15 pouces en série), roll-bars à but uniquement esthétique.
Jamais par contre la capote électrique ne fut au programme. Il faut avouer que la cinématique de base est très bien conçue, au point qu'avec un peu de force et d'habitude il devient facile de remettre le toit souple en place d'une main sans même quitter son siège. Allez, osons le dire : cela procure toujours un plaisir espiègle de taquiner les possesseurs de cabriolets plus luxueux en effectuant quatre fois la manuvre ouverture-fermeture manuellement dans le temps qu'il faut à leur lourde mécanique pour ne changer qu'une fois de configuration. Revenons aux choses sérieuses pour remarquer tout de même qu'aucune option n'est jamais venue améliorer le sort des passagers soumis aux caprices du vent une fois décapoté, le petit coupe-vent de série en plastique s'avérait relativement peu efficace (mais tout de même pas complètement inutile), rançon de sa belle discrétion esthétique. Fait étrange, alors que le modèle a légèrement grandit au cours de son existence, il y a moins de place dans la FL que dans une MX-5 Mk1. La faute au confort amélioré et aux divers équipements de sécurité rajoutés en 12 ans d'évolution automobile.
MOTEUR
La version 1800 était jusqu'à l'arrivée de la nouvelle MX-5 (MK3 ou NC pour les puristes) la plus performante du catalogue. Avec ses 145 ch (contre 140 avant restylage) perchés à 7000 tr/min et ses 168 Nm à 4500 trs/min, le moteur de la MX-5 NB FL demande à être mené à la cravache pour restituer un minimum de sensations. Sans être anémique à bas régime, il faut bien avouer que les reprises ne sont pas sont point fort. Les accélérations sont toutefois satisfaisantes. Ainsi, avec le kilomètre départ arrêté abattu en 29,7 secondes, la MX-5 NB FL 1800 se situe dans la moyenne des véhicules à tendance sportive, cependant sa bonne motricité (merci la propulsion) gomme en grande partie l'impression d'arrachement que l'on peut avoir avec une GTI de puissance équivalente. Le 0-100 Km/h s'avale alors en 8,5 secondes ce qui, sans être réellement exceptionnel reste assez grisant, surtout dans un véhicule relativement bas et soumis aux courants d'air.
Ceci étant, à l'usage on s'aperçoit que ce caractère moteur se marie bien avec la philosophie générale de l'auto. En effet il permet d'enrouler en toute tranquillité en "mode balade", sans bruit assourdissant, sans nervosité, tandis que la recherche de la puissance à haut régime participe au plaisir de pousser la voiture dans ses retranchements. C'est dans ce type d'utilisation que le caractère un peu pointu du moteur peut s'exprimer, ce dernier commençant à prendre vie réellement entre 4500 et 7000 trs/min.
La boîte manuelle à 5 rapports bien étagée permet d'exploiter naturellement la mécanique et son minuscule levier bien guidé fait de chaque changement de rapport un jeu. C'est d'ailleurs de ce binôme joystick - caractère pointu du moteur que l'on tire le plus grand plaisir de la mécanique de l'auto. Les petites routes tournicotant devenant vite prétexte à des changements de rapports toujours amusants. Au final, si le moteur ne gâche pas le plaisir de l'auto il faut tout de même avouer que ce n'est pas pour son caractère moteur que l'on choisira la MX-5. Si la version 1800 bénéficie de performances honnêtes, elle ne brille malgré tout pas par son charme mécanique qui n'est finalement sauvé que par la commande de boîte très ludique.
SUR LA ROUTE
Les cabriolets ne bénéficient pas par essence d'une rigidité comparable à celle d'un coupé. Ce qui, dans le cas d'un véhicule sportif peut paraître rédhibitoire. Cependant dans le cas de la Mx5 cet inconvénient reste minime du fait que la voiture a dès son origine été conçue comme un cabriolet. Il ne s'agit pas d'une berline ou d'un coupé " décapsulé " pour l'occasion mais bien d'un modèle dont l'absence de toit était une donnée de base lors de la conception. Ainsi la rigidité structurelle de la caisse est plus qu'acceptable dans l'absolu (et excellente pour un cabriolet), les grincements de tableau de bord ou baie de pare-brise restant inexistants après de nombreux kilomètres et une utilisation parfois intensive. Cependant il est un fait que le châssis reste tout de même assez souple, cela apparaît évident lorsque l'on roule avec le hard-top (option catalogue chèrement facturée) qui tend à rigidifier l'ensemble. Quoi qu'il en soit, l'ensemble reste extrêmement sain en toutes occasions.
La motricité apportée à la fois par l'architecture classique moteur avant-propulsion et la relativement faible puissance permet d'enfoncer la pédale de droite en toute tranquillité. Tout du moins sur le sec en ligne droite. Sur le mouillé il en va autrement. La voiture devient très vite joueuse et il faut anticiper les dérobades du train arrière lors des sorties de courbes. Pour le conducteur lambda habitué aux tractions sous-vireuses ce comportement peut paraître vicieux et même dangereux, cependant avec un peu de prudence (c'est à dire à condition de ne ré-accélérer qu'une fois les roues bien droites) il n'y a plus de soucis. Et même, l'habitude aidant on en vient a apprécier ce caractère joueur qui permet de provoquer de jolies glissades à vitesse réduite. Bien entendu se prendre pour Toïvonen dans les grandes courbes sur route ouverte n'est pas recommandé (et pas bien du tout espèce de vilain garnement) et c'est là que la polyvalence de la MX-5 prend tout son sens : elle peut aller s'égayer sur circuit ! Et voilà donc ce qui reste peut-être le principal attrait de la mx5 : elle est aussi à l'aise sur les routes campagnardes en mode promenade avec madame à côté qui profite du paysage qu'en mode dynamique, toujours sur route ouverte et finalement qu'en mode grosse attaque sur circuit fermé.
Certes cette polyvalence se paye par des aptitudes à la piste limitées par une prise de roulis importante et des pneus d'origine (Bridgestone Turanza d'origine) totalement inadaptés mais il suffit d'une monte mieux adaptée pour que la voiture devienne un véritable jouet dont on a envie d'abuser jusqu'à plus soif. Dans le serré la MX-5 NB enroule avec une certaine neutralité tendant vers le sous-virage mais peut à la demande d'un simple lever de pied se mettre à survirer progressivement, il suffit alors de remettre un peu de gaz pour retrouver la neutralité facile et sortir de la courbe sans arrière pensée. Dans le rapide il en va de même, le sous-virage léger permettant de rentrer en tout quiétude dans la courbe si on veut garder une bonne marge de sécurité. Il suffit cependant de jeter un peu brutalement la voiture lors de l'inscription pour provoquer un beau travers qui se rattrape une fois de plus avec une relative facilité. Pour ce qui est de tenir une dérive sur la distance on repassera par contre, le manque de puissance étant pour ce genre de figures un handicap insurmontable.
Ainsi la petite voiture rigolote se transforme sur la piste en une véritable voiture de sport capable d'en remontrer à de plus huppées qu'elle. Et ce d'autant plus qu'au fil des tours les performances restent constantes. Même les freins, souvent la bête noire de la voiture de sport " civile " sur circuit remplissent leur rôle correctement et sans faiblir. Certes leur efficacité ne vaut pas celle d'une Porsche mais il n'y a véritablement pas de quoi s'en plaindre, surtout lorsqu'elle répond encore présent au bout d'une quinzaine ou une vingtaine de tours menés tambour battant.
CE QU'EN DISAIT LA PRESSE
"On ne change pas un concept qui gagne. Trèsproche
de la première mouture, la nouvelle MX-5 n'évolue que par des petits
détails qui, s'ils se révèlent pratiques à l'usage
(lunette arrière dégivrante en verre, coffre plus grand) ne modifient
en rien son caractère de jouet. Au contraire, car elle est devenue plus
performante et plus efficace. Tout en s'affichant à un prix particulièrement
compétitif."
Le Moniteur Automobile - juillet 1998 - Mazda
MX-5 Mk2 (FL).
SERIES LIMITEES
En avril 2002, Mazda Europe propose la série limitée Phoenix (dont seulement 125 exemplaires pour la France uniquement en 1.6i), célébrant la 13ème apparition du roadster au salon de Génève. Peinte en gris argent métallisé "Titanium" ou sur d'autres marchés que le notre, noir brillant, la Phoenix se distingue également par ses jantes alliages 15'' spécifiques "Phoenix Design".
En 2003, Mazda proposa la série spéciale non numérotée "Red Passion & Green Passion" sur la MX-5 NB FL, disponible en deux coloris (Grenat et Emerald Green) sur les deux motorisations de la gamme. Elle recevait également d'inédites jantes aluminium de 16' à 5 branches, les phares antibrouillards de série, une sellerie cuir beige, un intérieur bois (volant, levier de vitesse, frein à main, console centrale), des sièges chauffants et la climatisation. Cette série limitée se disitnguait également par plusieurs améliorations techniques avec la motorisation 1.8i : des barres anti-rapprochement, des suspensions renforcées et le différentiel Torsen de série. La version "Red Passion" sera remplacée en fin d'année par la "Black Passion".
MX-5 Etna
La seconde série limitée basée sur la Mazda MX-5 NB FL est l'Etna (200 exemplaires en France). Lancée en décembre 2003 avec les deux motorisations, elle est disponible avec les coloris "Velocity Red" ou "Titanium Grey II" et reçoit des jantes à rayons de 16'' spécifiques. L'intérieur se distingue par sa sellerie sport en cuir rouge et noir et une console centrale parée de carbone décoratif. La climatisation est de série comme les sièges chauffants. Sur le plan technique, elle reçoit également les modifications (BAR, suspensions, Torsen) des séries Red Passion et Green Passion. En cours d'année, toute la gamme reçoit une finition imitation aluminium et les sièges chauffants.
ACHETER UNE MAZDA MX-5 (NB) FL 1.8i
En novembre 2005, après une période d'arrêt de quelques mois, la MX-5 NB FL était remplacée par la troisième génération de MX-5, la MX-5 NC. Produites durant huit ans à un total de 290 123 exemplaires, les Mazda MX-5 de seconde génération n'ont pas réitéré le succès de la première MX-5 (vendue à 431 000 506 exemplaires !) mais la NB s'impsoe sur la seconde marche du podium toutes générations confondues. De ce fait, les NB et NB FL sont assez courantes en occasion et parfois même encore assez peu kilométrées. Il n'est donc pas trop difficile de trouver son bonheur, bien que le moteur 1800 soit moins courant que le 1600. Les modèles d'occasions s'échanges entre 10 et 13 000 euros en fonction du kilométrage, des options et surtout... des saisons. Et oui, il est toujours plus facile de vendre un cabriolet au preintemps qu'avant l'hiver et ce n'est pas spécifique à la MX-5. Sur ce point, la présence du hard-top optionnel pourra toutefois être un gros plus à la revente pour les acheteurs qui veulent pouvoir rouler toute l'année en MX-5.
En ce qui concerne la fiabilité, hormis une certaine sensibilité à la corrosion que la MX-5 NB a héritée de sa devancière, la fiabilité légendaire de la Miata concernant sa robustesse mécanique permet d'envisager un achat plutôt serein entre passionnés. A condition bien sûr de disposer d'un véritable historique d'entretien...
CHRONOLOGIE MAZDA MX-5 NB
1997 : En octobre, présentation de la Mazda MX-5 Mk2 (NB) au salon
de Tokyo.
1998 : En mars, première européenne de la nouvelle
Mazda MX-5 au salon de Genève en Suisse.
En avril, la Mazda MX-5 est
récompensée par le magazine allemand Auto Bild, le Züddeutsche
Zeitung et le journal Frankfurter Allgemeine.
En mai, le magazine Auto-Magazin
récompense à son tour la nouvelle Mazda.
En décembre,
déjà 16600 exemplaires de Mazda MX-5 NB sont vendus.
1999 : En février, Mazda fête la 500 000e MX-5 produite depuis 1989. Un
véritable succès !
En avril, un modèle 10th Anniversary
Edition est produit pour célébrer le 10e anniversaire du lancement
de la première génération. 7500 modèles sont ainsi
produit pour cette série spéciale dont 3700 pour l'Europe.
En
décembre, l'année 1999 se clot sur des résultats records
pour la MX-5 avec 21 269 unités produites.
2000 : En décembre,
Mazda franchit le cap des 600 000 MX-5 produites !
2001 : En janvier,
Mazda opère un facelift (FL) sur les MX-5 NB . De nombreux détails évoluent
pour moderniser la MX-5.
2005 : La nouvelle Mazda 3ème génération
(NC) est produite. Arrêt de la NB FL l'année précédente.
CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
MAZDA MX-5 (NB) FL 1.8i
MOTEURType : 4 cylindres en ligne, 16 soupapes 2 arbres à cames en tête
Position : longitudinal AV
Alimentation : Injection électronique
Cylindrée (cm3) : 1 840
Alésage x course (mm) : 83 x 85
Puissance maxi (ch à tr/mn) : 145 à 7000
Couple maxi (Nm à tr/mn) : 164 à 5000
TRANSMISSION
AR + autobloquant Torsen
Boîte de vitesses (rapports) : manuelle (5)
ROUES
Freins Av-Ar (ø mm) : Disques ventilés AV et disques pleins AR
Pneus Av-Ar : 195/50 R 15
POIDS
A vide constructeur (kg): 1025
Rapport poids/puissance (kg/ch): 7,32
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h): 205
400 m DA: 16,3
1 000 m DA: 29,7
0 à 100 km/h: 8,2
0 à 200 km/h: ND
CONSOMMATION
Moyenne (L/100 Km): 10
PRIX NEUF (2001) : 140 000 FF
PUISSANCE FISCALE : 9 CV
CONCLUSION
En résumé, la vie en Mazda MX-5 est ce que l'on veut bien en faire. Aussi à l'aise en ville qu'à la campagne ou encore sur circuit, la NB FL 1800 s'adapte à toutes vos envies en distillant à chaque instant la magie des roadsters anglais, avec de surcroît la tranquillité d'esprit propres aux création du pays du soleil levant, à savoir une fiabilité sans faille et une qualité de construction durable. Relativement courante (la Miata ayant détrôné la MG B au titre de roadster le plus vendu au monde), pas trop démonstrative esthétiquement, vivre la Mx5 au quotidien n'est pas un sacerdoce, même si la fragilité relative des cabriolets face aux vandales oblige à prendre quelques précautions au moment de garer la belle...
Esprit sixties
Tenue de route efficace et sportive
Fiabilité reconnue
Prix d'achat et d'entretien
Polyvalence
Capote manuelle au maniement simplissime
Performances quelconques
Moteur sans charme
Image peu sportive du modèle
L'Automobile Sportive tient à remercier chaleureusement Philippe pour la rédaction de ce dossier, sa patience lors des séances photos et sa passion communicative sur l'automobile plaisir.
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bonjour je suis proprietaire depuis deux en et demie de cette merveilleuse machine surnaumer mon crapeau du a son avant un peu ecraser que du bonheur avec se vehicule don je me sert tout les jours consomation tres resonable a mon gout pour une essence modele de 1998 et tout d.origine je n.ai jamais eu au un vehicule aussi solide batterie d.origine j.amais vue ça controle ras je la recommande vivement et ne suis pas pres de vendre la mienne