PEUGEOT 504 Coupé V6 (1969 - 1983)
DU SERIEUX EN TENUE DE SOIREE
Chez Peugeot, pendant de nombreuses années, il y avait une tradition qui remontait à la 404 : décliner un coupé et un cabriolet dérivant d'une berline existante. Et c'était d'autant plus un plaisir quand le dessin de la carrosserie était dû à l'un des grands maîtres italiens. Avec la 504, Pininfarina va laisser aller tout son talent pour dessiner un coupé et un cabriolet qui feront date dans l'histoire de Peugeot. Restait à lui trouver un moteur à la hauteur, ce sera le rôle du V6 PRV…
Texte & photos : Sébastien DUPUIS
Lorsqu'est présentée la berline 504 en 1968 (le lancement initialement prévu au printemps avait été décalé en raison des évènements de mai 68), c'est une réelle montée en gamme qui s'opère à Sochaux. Outre des dimensions plus généreuses, la 504 possède en outre par rapport à sa devancière, la 404 (qui sera commercialisée jusqu'en 1970), une motorisation plus généreuse avec un 1,8 litres au lieu du 1,6 litres de la 404. C'est la continuité d'une stratégie de long terme initialisée par Peugeot qui n'a de cesse de vouloir monter en gamme. La 404 avait eu ses variantes coupé et cabriolets dessinées par le maestro Pininfarina, la 504 connaîtra le même honneur ainsi que celui de devenir la toute première Peugeot à moteur V6…
PRESENTATION
Ainsi, en mars 1969, Peugeot présente les variantes C02 (cabriolet) et B02 (coupé) de sa berline 504. Sur les 404 coupé et cabriolet, la parenté stylistique avec la berline était évidente tant à l'avant qu'à l'arrière mais pour les 504 coupé et cabriolet, Pininfarina est allé plus loin dans sa démarche stylistique visant à créer un nouveau modèle à part entière plus qu'une simple variante. S'il n'est toujours pas question d'excentricité ni même d'originalité, Pininfarina offre une ligne aux 504 coupé et cabriolet qui n'ont plus aucune parenté avec la berline dont ils dérivent. Exit le pan de coffre curieusement incliné de la berline et, surtout, si l'ensemble général du design respire le classicisme de bon aloi, l'élégance et le style qui se dégagent semblent aux antipodes de la lourdeur stylistique relative de la berline.
Pour arriver à ce résultat, les ingénieurs ont raccourci l'empattement de 19 cm et les voies arrière ont été élargies de 5 cm. Au total, la longueur hors-tout des 504 coupé et cabriolet est 13 cm plus courte que celle des berlines, mais leurs poids est supérieur. Pour finir sur le chapitre du style, Pininfarina a su disséminer ça et là des détails stylistiques charmeurs tels les quatre phares AV, les montants de custodes très fin et gracieux, les fines poignées de porte chromées et surtout les feux AR obliques très élégants que reprit notamment Guy Ligier pour son coupé JS2 sur les premiers exemplaires. Côté ligne, on a peaufiné quelque peu les détails lors de l'arrivée du V6 sur la 504 coupé (B31) et cabriolet (C31), une évolution officiellement connue comme "Série 2". La calandre est nouvelle, le dessin des jantes alu est différent et les feux arrière sont redessinés pour être regroupés en un seul bloc.
HABITACLE
L'intérieur des coupés et cabriolets Peugeot 504, notamment en version V6, est une belle synthèse entre confort, fonctionnalité et luxe. Il reflète parfaitement l’image des grandes routières européennes des années 70-80, avec un design intemporel et des matériaux de qualité qui font encore bonne impression aujourd'hui. Le coupé 504 utilisait des matériaux considérés haut de gamme pour l'époque. La planche de bord par exemple est composée de plastiques texturés mêlés à des inserts en (faux) bois ou en métal brossé, ajoutant une touche de sophistication. Les sièges en velours épais de série sur les versions V6 pouvaient être offrent un confort plus douillet que sportif. Leur assise large et bien rembourrée offrent un maintien relatif mais un excellent confort sur long trajet. Bien que le coupé soit un coupé 2+2, l'espace arrière est restreint mais suffisant pour des enfants.
Le tableau de bord des versions V6 est équipé de cadrans ronds, typiques de l’époque. On y trouve un compteur de vitesse, un compte-tours, une jauge à essence, une température moteur et parfosi sur certains modèles également un manomètre d’huile, tous bien lisibles derrière le volant à jante large. Les commandes de ventilation et de chauffage sont regroupées au centre et bien que l'ergonomie peut sembler un peu dépassée aujourd'hui, notamment avec l'autoradio (option d'époque) positionné très bas, les différentes molettes et leviers sont robustes et faciles à manipuler. Les versions V6 étant plus huppées que les 4 cylindres, elles disposaient souvent d'un équipement plus riche par le biais d'options comme la sellerie cuir, les vitres électriques, la climatisation ou encore le toit ouvrant pour le coupé.
MOTEUR
Au lancement, le moteur est repris aux 404 coupé et cabriolet. C'est le 1,8 litres développant 90 chevaux. Conscient des critiques essuyées sur le manque de caractère moteur des 504 coupés et cabriolets dont le prix rappelons-le à l'époque était 40% plus cher que la berline 504, Peugeot réalèse le moteur pour le passer à 2 litres à l'occasion du millésime 1971. La puissance évolue également pour passer à 104 ch (cabriolet B12 et coupé C12). La vitesse de pointe tutoie désormais les 180 km/h. Pourtant ces évolutions, intéressantes au demeurant, ne changent pas le caractère de ce placide coupé, toutefois séduisant et agréable à l'usage. Un compte-tours est enfin monté en série sur tous les 504 coupé et cabriolet. L'année suivante une boîte automatique ZF à 3 rapports fait son apparition dans la gamme tandis que le frein à main passe entre les sièges.
L'année 1974 marque une charnière dans la gamme 504 coupé et cabriolet. Renault, Peugeot et Volvo ayant enfin terminé l'étude de leur moteur conjoint, devenu après ablation de 2 cylindres pour cause de crise pétrolière le fameux V6 "PRV", plusieurs modèles de ces marques vont pouvoir enfin bénéficier d'une motorisation dite "noble" pour lutter avec la concurrence allemande et italienne sur le haut de gamme. Et pour bien faire comprendre à la clientèle que les 504 coupé et cabriolet montent justement en gamme, les versions 2 litres disparaissent purement et simplement du catalogue !
Le fameux V6 PRV qui possède un angle d'ouverture à 90° développe 136 ch et est alimenté par deux carburateurs Solex (un simple et un double corps). Pour en savoir plus sur les aspects techniques de ce moteur longtemps décrié, nous vous renvoyons bien sûr à notre dossier dédié au V6 PRV. Ce moteur au fonctionnement "bancal" du fait d'une ouverture à 90° inadaptée à son architecture conserve les défauts qui lui sont propres : peu élastique, un peu rugueux, glouton et sans réelle sonorité agréable. Il permet néanmoins aux 504 V6 B31 (cabriolet) et C31 (coupé) d'afficher des performances enfin dignes de leur plumage : 186 km/h en pointe revendiqués et 31,5 secondes au km départ-arrêté. Ajoutons que le V6 était associé au lancement à une boîte manuelle à 4 rapports ou, sur le coupé 504 uniquement (type C33), à une boîte automatique 3 rapports Type 407 de GM qui dégradait les performances et la consommation...
SUR LA ROUTE
On s'en doute, avec 136 chevaux pour près de 1300 kg dans sa première mouture, il ne faut pas s'attendre à des miracles mais le coupé 504 V6 atteint tout de même 100 km/h en 10"5 et passe la borne kilométrique en 31"5, soit une seconde de moins que la berline par l'intermédiaire d'un maître couple moins important. La belle franco-italienne pointe à 186 km/h grâce à un pont tirant légèrement plus long que sur la berline. Des performances correctes mais pas tout à fait de quoi parler de sportivité lorsque dans le même temps vous pouviez acheter quelques coupés purement italiens, notamment Alfa Romeo, aux mécaniques autrement plus raffinées.
Alors mauvaise affaire ces belles de Sochaux ? Que nenni mon bon monsieur, car on vient d'aborder les points reprochés à l'époque par la presse, mais pour la partie compliments, outre sa ligne on l'a vu plus haut, il faut insister sur sa tenue de route royale extrêmement bien secondée par un freinage puissant et endurant. En fait, la philosophie de ces 504 coupé et cabriolet V6 est exactement la même que celle des coupés 406 V6 d'aujourd'hui. Des autos très belles, mais classiques, à la tenue de route royale et sécurisante et dont la clientèle visée n'est pas celle des sportives, mais plutôt la bourgeoisie. D'où ce confort bourgeois. Cela dit, il est évident que, comme pour l'Alpine A310, il manque un peu de puissance à cette auto pour affirmer ses prétentions. Pour illustrer cet esprit bourgeois et non sportif, le premier millésime n'avait même pas de compte-tours en série !
EVOLUTION
Peugeot, dont la réputation de fiabilité et de robustesse n'était plus à démontrer, n'hésita pas à poursuivre son engagement en rallye africains. Cela fut payant car dès l'année 1976, l'équipage Makkinen-Lindon remportent le rallye du Bandama sur 504 coupé. En 1977, Peugeot réintroduit finalement la motorisation 2 litres sur les 504 cabriolet B12 (B14 avec boîte automatique 3 rapports) et coupé C12 (C14 avec la BVA 3). Seulement désormais il développe 106 ch et 17.2 mkg soit 2 ch et 0,4 mkg de plus qu'auparavant, au mêmes régimes. Cette réapparition de la motorisation 2 litres est l'occasion pour Peugeot d'arrêter les cabriolets V6 dont la rigidité était mise à mal par le "puissant" V6...
504 Coupé V6 Ti
Au début du millésime 1978, en septembre 1977, le V6 reçoit une injection
électronique K-Jetronic qui fait grimper la puissance à 144 ch au lieu de 136
sur les versions carbus. Les performances du nouveau coupé 504 "V6 Ti" (C32) progressent toutefois modestement
(190 km/h et 31"1 au 1000 mètres) mais c'est surtout la souplesse
d'utilisation qui est en nette amélioration. Dans la foulée, les 504 V6 Ti sont équipées d'un boîte
5 vitesses (contre 4 auparavant) ce qui permet de réduire
la consommation à haute vitesse.
L'année 1978 n'apporte rien de neuf à la production des 504 coupés mais elle est en revanche riche en succès avec une victoire au Safari Rallye et un doublé au Rallye du Bandama avec notamment un certain… Jean Todt. Déjà ! En septembre 1979, Peugeot remodèle une dernière fois sa gamme 504 coupé et cabriolet avec la "série 3". Les pare-chocs sont désormais en polyuréthanne enveloppant annonçant bien les plastique omniprésent dans les années 80. Ces nouveaux pare-chocs sont peints uniquement avec les teintes métallisées et restent noirs mat sur les couleurs opaques. Pour une auto de cette classe et de ce prix, cela faisait un peu mesquin. La calandre change également pour la troisième fois de dessin. Les intérieurs sont légèrement modifiés sur des détails et les quatre cylindres reçoivent enfin une boîte 5 vitesses.
En septembre 1981, le dessin de la planche de bord est nouveau, puisque équipé d'une haute visière hébergeant 5 cadrans. Deux ans plus tard, c'est l'arrêt de la production des 504 coupés et cabriolets après 24 ans de bons et loyaux services ! Entre-temps, Peugeot refuse la proposition de 505 coupé et cabriolet pourtant très réussie esthétiquement (les analystes avaient prédit peu de débouchés pour ce type d'auto), peu aidé, il faut l'avouer par les échecs successifs de Peugeot sur le marché US. Il faudra attendre 1997 et le coupé 406 pour connaître enfin une succession aux 504 coupés. Les cabriolets eux n'ont jamais vraiment été remplacés car les 306 cabriolets ne se situent pas dans la même gamme.
PEUGEOT 504 RIVIERA
Au salon de Paris en septembre, Pininfarina dévoile un concept de
salon : le break Riviera. Reprenant la base d'un coupé 504 et le
même design, le carrossier de Turin l'a habilement habillé d'une
carrosserie coupé-break plus communément appelé : "break de chasse".
Très belle et très élégante, cette variante aurait pu être un haut
de gamme exclusif et emblématique de la gamme sochalienne. Mais,
Peugeot a vu la chose autrement et ce concept est resté à l'état
de prototype. Dommage… Plus tard, Lancia refusa également la proposition
de Pininfarina de décliner la gamme Gamma en partant du style du
coupé. Il y avait d'ailleurs également un très beau break de chasse.
Fermons-là l'album des regrets. Très peu d'évolutions pour l'année
72 puisque la seule chose que l'on remarque est l'arrêt de la boîte
auto pour les cabriolets.
ACHETER UNE PEUGEOT 504 COUPE OU CABRIOLET
Trouver un beau coupé ou cabriolet Peugeot 504 V6 se révèle être un parcours du combattant tant les offres sont nombreuses et disparates. Tous les prix sont présents dans les petites annonces. Sachez que les premiers millésimes sont les moins chers (à partir de 15 000 €) et les cabriolets V6 les plus chers (jusqu'à 30 000 €). Entre les deux vous trouvez des coupés et cabriolets V6 Série 1 et des coupés V6 Ti Série 2 dans une fourchette de 15 à 20 000 €. Depuis longtemps on se dit que la cote dette belle française va grimper et c'est le cas mais avec docueur, à l'image de ses accélérations... Quoi qu'il en soit, c'est typiquement le genre de voiture populaire destinée à devenir un grand classique et il est de moins en moins rare aujourd'hui de croiser des très beaux exemplaires, signe que la période de purgatoire est passée et que les propriétaires rechigent moins à engager des restaurations souvent coûteuses mais néanmoins indispensables…
Le point noir de l'auto demeure évidemment la rouille. Très rapidement, cette peste automobile peut ravager votre carrosserie pour causer des dommages très coûteux en réparation. Donc avant toute chose, soyez certain que l'exemplaire que vous convoité est réellement exempt de toute trace de rouille apparente ou cachée. Pensez à vous munir d'un aimant pour vérifier qu'il tient bien sur la carrosserie notamment sur les ailes et les bas de caisse. Côté mécanique les moteurs, boîtes et ponts sont des plus fiables et les 200 000 km sont largement envisageables. Seuls les 1,8 litres et les 2 litres avouent quelques faiblesses de joints de culasse. L'intérieur ne vieilli pas toujours bien et il commence à être difficile de trouver certaines pièces. Attention également au prix des pneus Michelin TRX pour les coupés et cabriolets équipées de jantes alu du même nom.
CHRONOLOGIE PEUGEOT 504 COUPE / CABRIOLET
1968 : Présentation et commercialisation de la berline 504.
1969 : Présentation en mars des coupé et cabriolet
504 équipés du moteur 1,8 litres 90 ch. En septembre,
les feux de position sur les ailes avant sont supprimés.
1970 : Apparition du moteur 2 litres de 104 ch en septembre. Compte-tours
au tableau de bord.
1971 : Une boîte auto ZF est disponible au catalogue dès
le mois de septembre et le frein à main est désormais
placé entre les sièges. Au salon de Paris, Pininfarina
présente un break de chasse sur base de 504 coupé
baptisé Riviera.
1972 : Le cabriolet perd l'option boîte auto en septembre.
1974 : En septembre, nouveaux détails de style (504 série 2) :
calandre type 2, feux arrière différents, jantes alu
redessinées. Suppression des motorisations 4 cylindres. Apparition
du V6 de 2,7 litres sur les 504 coupé V6 (C31) et cabriolet V6 (B31).
1976 : Victoire en décembre au Rallye du Bandama avec l'équipage
Makkinen - Liddon.
1977 : En septembre, apparition de l'injection sur la 504 coupé
V6 Ti (C32) et disparition des cabriolets V6. Boîte 5 vitesses sur
le coupé V6. Réapparition des 4 cylindres, le 2 litres
passe à 106 ch à 5 200 tr/mn.
1978 : Victoire en mars au Safari Rally avec l'équipage Nicolas
- Lefebvre. 1er & 2ème en octobre au Rallye du Bandama
avec les équipages Nicolas - Gamet et Makkinen - Todt.
1979 : En septembre, nouveaux changements de style (504 série 3) : calandre type
3, nouveaux pare-chocs en plastique, boîte 5 vitesses sur les 4 cylindres
et modifications des intérieurs.
1980 : 3ème place au Rallye du Bandama avec l'équipage
Ambrosino - Bureau.
1981 : Planche de bord modifiée en septembre.
1983 : En août, la production des 504 coupés et cabriolets s'arrête après
24 ans de bons et loyaux services.
PRODUCTION PEUGEOT 504 Coupé & Cabriolet
Cabriolets 4 cylindres BVM 4 : 5 848 exemplaires
Cabriolets 4 cylindres BVM 5 : 1 071 exemplaires
Cabriolets 4 cylindres BVA : 292 exemplaires
Cabriolets V6 (B31) : 977 exemplaires
Coupés 4 cylindres BVM : 14 583 exemplaires
Coupés 4 cylindres BVA : 2 163 exemplaires
Coupés V6 à carburateurs (C31) : 4 472 exemplaires
Coupés V6 injection (C32 + C33) : 1 757 exemplaires
TOTAL = 22 975 exemplaires
CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
PEUGEOT 504 Coupé V6 / V6 Ti
MOTEURType : 6 cylindres en V à 90°, 12 soupapes
Cylindrée (cm³): 2664
Alésage × course (mm) : 88 x 73
Alimentation : 2 carburateurs / injection
Puissance (ch DIN à tr/mn) : 136 à 5750 / 144 à 5500
Couple (Nm à tr/mn) : 207 à 3000 / 217 à 3000
TRANSMISSION
AR
Boîte de vitesses (rapports) : manuelle (4) / (5)
ROUES
Freins Av-Ar : disques ventilés (273 mm), disques pleins
Pneus Av-Ar : 175/80 HR 14 / 190/65 HR 390 (Michelin TRX)
POIDS
A vide constructeur (kg): 1300 / 1295
Rapport poids/puissance (kg/ch) : 9,6 / 8,9
PERFORMANCES
Vitesse maxi (km/h) : 186 / 189
0-100 km/h : 10"5 / 10"2
1000m D.A.: 31"5 / 31"1
CONSOMMATION
Mixte constructeur (L/100 km) : 11.9 / 12
Moyenne de l'essai (L/100 km) : 16
PRIX NEUF (1974) : 41 500 FF
COTE (2024) : 15 000 €
PUISSANCE FISCALE : 15 CV
CONCLUSION
:-) Ligne indémodable Fiabilité mécanique 4 places Tenue de route Cote raisonnable |
:-( Corrosion ! Pas sportive Finition des 1ères séries Disponibilités despièces Consommation |
Le plus gros reproche de l'époque fait aux Peugeot 504 coupé et cabriolet V6 était leur manque de sportivité. Aujourd'hui en collection, ce défaut est largement atténué car on ne sollicite pas une ancienne comme une voiture récente en dehors de la compétition. Les prix de ces coupés et cabriolets restent attractifs, la lignes griffée Pininfarina indémodable et les mécaniques solides. Si vous êtes séduits par cet esprit bourgeois, il n'y a plus à hésiter...
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Bonjour, J'ai un cabriolet 504 de 1974. Je l'ai passé récemment au contrôle technique, sans problème. Mais en roulant j'ai constaté que les vitres avaient du mal à monter, et mes clignotants étaient très faibles, alors que la batterie est neuve. Avez-vous une réponse à ce problème? Merci pour votre réponse Bien cordialement VT